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      OM Monaco 2- 1 (1 - 1)  
      Arbitre Mr Turpin 
      Buts Courtadeur 22e sp, A.Ayew. 42e, Azpilicueta 59e 
       
      OM - Mandanda - Azpilicueta, M'Bia, Diawara, Taiwo - Kaboré, Abriel, Cheyrou
      puis Lucho 50e- J.Ayew puis Rémy 73e, Brandao, A.Ayew puis Cissé 83e- 
      Monaco - Ruffier - Mongongu puis Adriano 62e, Puygrenier, Hansson, Bonnart
      - Coutadeur, N'Koulou, Arouna - Aubameyang puis Makengo 69e, Malonga puis
      Bulot 65e- Gapke - | 
     
    
      La Coupe de la Ligue sourit aux Marseillais en difficultés.  
      Héros de la précédente conquête phocéenne, Brandao a profité de ce quart
      de finale contre Monaco pour retrouver des couleurs après un début de saison
      difficile marqué par les sifflets du public marseillais à son encontre.
       
      Mieux, Cesar Azpilicueta a su faire la différence, en doublant la mise
      pour les joueurs de Didier Deschamps (2-1, 60e) avant de réaliser un sauvetage
      sur sa ligne (70e) alors que l'arrière-garde de l'OM prenait l'eau. | 
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      Jusqu'à l'heure de jeu, pourtant, on ne l'avait pas franchement vu, ni
      dans le mauvais, ni dans le bon sens du terme. On avait plutôt remarqué
      un banc de touche marseillais quatre étoiles (Lucho, Gignac, Rémy, Valbuena),
      une entame de match pas franchement maîtrisée, et un Brandao titulaire
      décidément bien peu chanceux : auteur d'une main sur un coup-franc d'Hansson,
      l'Olympien contestait en vain un penalty que Coutadeur transformait sans
      souci d'un contrepied parfait (22e). Il fallait donc qu'André Ayew, l'homme
      de la Coupe de la Ligue cette saison (buteur décisif contre Guingamp, NDLR),
      se charge de remettre les siens d'aplomb avant la pause (42e) d'une tête
      décroisée à la limite du hors-jeu. | 
     
    
      Il fallait aussi qu'Azpilicueta ne manque pas cette déviation de Brandao
      (60e) pour prendre à défaut Stéphane Ruffier. Que l'Espagnol revienne sauver
      son camp (70e) sur sa ligne face à Bulot. De quoi sans conteste disputer
      à Mandanda le titre d'homme du match. Une fois encore, le portier olympien
      a étalé toute sa classe pour tenir ce résultat, face à un bon Bulot (71e)
      ou encore sur une frappe lointaine d'Haruna (81e). Didier Deschamps retiendra
      cela, tout autant que l'apport décisif de Lucho en 2e période, mais aussi
      la friabilité de sa défense centrale, souvent ennuyée par les percées de
      Gakpé ou Aubameyang.  
      Il retiendra enfin que le tenant du titre n'est plus qu'à un match de retrouver
      le Stade de France en passant par Auxerre. 
       
      Demi-finale  
      Auxerre - OM 
      Montpellier - PSG | 
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