OM Olympique de Marseille

OM Montpellier 0 - 1 à Martigues

ACCUEIL Saison 2011/2012
Crédit Photos OM.net
OM 0 – Montpellier 1 (0 - 1)
Martigues, stade Francis-Turcan. Spectateurs : 3500
Arbitre : Hervé Piccirillo.
But - Montpellier : Belhanda (19).
OM : Mandanda (cap., Andrade, 46) – Fanni (Mbow, 81), Diawara, Mbia (Nkoulou, 46), Morel (Sabo, 62) – Diarra (Kaboré, 46), Cheyrou (Cissé, 62) – Rémy (Omrani, 62), Valbuena (Lucho, 46), A. Ayew (Abriel, 62) – J. Ayew (Gadi, 71).
Montpellier (1ère mi-temps) : Jourdren – Jeunechamp, Yangambiwa, El Kaoutari, Bedimo – Belhanda, Pitau (cap.), Cabella – Utaka, Giroud, Martin.
Montpellier (2e mi-temps) : Pionnier – Deplagne, Stambouli (Legras, 66), El Kaoutari (Mezague, 62), Bedimo (Bocaly, 62) – Marveaux, Saihi, Dernis - Kabze, Camara, Koita.
Une semaine après le succès contre Vannes (0-1), l'OM a achevé sa deuxième rencontre amicale sur un revers devant un Montpellier extrêmement accrocheur et rugueux (0-1).
Que retenir de cette opposition jouée au stade Francis-Turcan de Martigues, sous les yeux du président Vincent Labrune ? Que l'OM, déjà, s'en sort bien en n'ayant aucun blessé à déplorer. Car, fidèles à leurs habitudes, Cyril Jeunechamp et ses partenaires ont musclé le jeu, surtout en première période.
Montpellier jouait la gagne lorsque les Olympiens peaufinaient leur préparation.
Collectivement, l'OM monte en régime, les combinaisons semblent mieux huilées. Pour faciliter les choses, Didier Deschamps avait d'ailleurs aligné un onze de départ assez classique, une sorte de copier-coller de ses dernières compositions du précédent exercice. Lucho en moins. En instance de départ, l'Argentin, qui n'a plus la tête à l'OM, était bien présent au stade Francis-Turcan.
Au vu de la rencontre, le succès de Montpellier n'est pas franchement mérité. Sur le but du MHSC, Younès Belhanda n'a laissé aucune chance à Steve Mandanda d'un coup franc subtil (19). Après s'être montré extrêmement discret, l'OM s'est procuré une ribambelle d'occasions (Rémy, Cheyrou, Diarra, Lucho), butant sur un excellent Geoffrey Jourdren, puis sur un Laurent Pionnier inspiré.
Au niveau individuel, Jérémy Morel a joué simple tout en étant efficace. Loïc Rémy a montré qu'il avait déjà des cannes et était plutôt affûté. Tout comme André Ayew, un peu trop énervé. Souleymane Diawara a fait dans la sobriété, tout comme Nicolas Nkoulou. Entré à l'heure de jeu, Billel Omrani s'est signalé par une activité intéressante, mettant en danger la défense héraultaise.