OM Olympique de Marseille

Interview de Jean Fernandez après Toulouse OM

Accueil
Jean Fernandez comemnt expliquer que votre équipe n'ait pas sur profiter de sa supériorité numérique pendant plus d'une heure ?
D'abord la supériorité numérique, en football, ça ne veut rien dire. Ensuite, il faut reconnaître que nous sommes tombés sur une équipe de Toulouse qui a très bien défendu et sur ung ardien qui a sorti les deux ou trois ballons chauds qu'il faut.
N'avez-vous donc rien à reprocher à vos joueurs ?
Ils ont tout tenté et ne méritaient certainement pas de perdre ce match. Quand on se procure sept ou huit occasions en quarante-cinq minutes, comme cela a été notre cas en seconde période, après l'expulsion d'Arribagé, on peut quand même espérer repartir au moins ave un nul. Franchement, on a monopolisé le ballon, on a essayé de passer à guauche, à droite, dans l'axe, partout. Je ne vois pas ce qu'on aurait pu faire d'autre.
Soigner le dernier geste par exemple.
C'est vrai que mes joueurs à vocation offensive n'ont peut-être pas eu une détermination ni une agressivité suffisantes pour marquer ce but qui aurait fait notre bonheur. Ils ont parfois manqué de clairvoyance dans le dernier geste,comme on peut aussi reprocher à mes défenseurs une certaine passivité sur le but encaissé. Un but qui, je vous le rappelle, est intevenu sur un corner concédé après une aciton complètement anodine, alors que nos maîtrisions le match jusque-là. Après à 0-1 à l'extérieur pour l'advesaire, on sait que c'est toujours difficile.
Cette nouvelle défaite, après les sursauts observés à Sochaux (0-1) et contre Troyes (2-1), vous empêche de nouveau de vous rapprocher du haut du classement.
Ce n'est évidemment pas une bonne opération, mais tout peut aller très vite dans ce Championnat avec la victoire à 3 points. De toute façon, je répète que nous ne devons pas être obnubilés par le classement. Pas encore. Ajourd'hui, l'OM a surtout envie de construire quelque chose de solide.