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OM Spartak Moscou 0 - 1 ( 0 - 0)
50000 Spectateurs Arbitre : Florian Meyer (Allemagne)
But Azpilicueta 82e csc
OM - Mandanda - Azpilicueta, Hilton, Heinze, Taiwo- Cheyrou, Cissé, Lucho
puis J. Ayew 83e- Valbuena, Brandao puis Gignac 61e, A. Ayew
Spartak - Dykan - Parchivliouk, Suchy, Pareja, Makeev - Chechoukov puis
Ari 88e, Ibson - Mc Geady puis Sabitov 82e, Alex puis Strantz 90e, Kombarov
- Wellliton - |
L'OM fait une très mauvaise opération et s'incline contre le Spartak très
opportuniste et chanceux sur son but.
Pour la troisième année consécutive, le champion de France a concédé une
défaite pour son entrée dans la compétition.
Après Liverpool (1-2) en 2008 et le Milan AC (1-2) en 2009, le Spartak
Moscou a confirmé la tendance en venant s'imposer au Stade Vélodrome (0-1).
Pas d'occasion pratiquement pour les Olympiens dans la première mi-temps
mais une seconde mi-temps à sens unique, avec un grand nombre d'occasions,
mais sans réussite et aussi avec un manque évident de réalisme.
Lucho a manqué la balle de match à 15 minutes de la fin et Azpilicueta
a trompé Mandanda sur un coup de billard.
Triste à en pleurer!!! |
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Dans le jeu, l'OM a encore semblé au-dessus de son adversaire avant de
se faire crucifier, autant par malchance que par maladresse, sur un but
contre son camp de Cesar Azpilicueta (0-1, 82e c.s.c.). La défaite fait
mal. L'objectif avoué d'une qualification pour les huitièmes de finale
a déjà du plomb dans l'aile. Si l'OM aura l'occasion de se rattraper, il
a déjà grillé un joker avant un déplacement délicat à Stamford Bridge pour
défier Chelsea dans deux semaines. Des Blues mis en confiance par leur
balade à Zilina (1-4) sous la houlette d'un Anelka des grands soirs (une
passe décisive et deux buts).
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Didier Deschamps souhaitait à tout prix ne plus revoir "ces erreurs
qui coûtent cher" en Ligue des Champions.
Peut-être émoussés après un match difficile face à Monaco dimanche soir
(2-2), les Marseillais ont peiné pour prendre le bloc russe à revers, malgré
un premier quart d'heure volontaire.
Au milieu de terrain, les olympiens ont contrôlé les débats.
Mais cette maitrise a régulièrement disparu à l'approche des trente mètres
adverses.
Le manque de précision dans le dernier geste, incarné par un Brandao aussi
volontaire que maladroit, est un défaut rédhibitoire à ce niveau. Pour
ne pas avoir su le faire, Marseille en a payé les conséquences.. |
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En deuxième période, Mathieu Valbuena, enfin retrouvé ,après un premier
acte poussif a entretenu l'espoir.
Mais il a toujours manqué quelque chose. La précision, à l'image de cette
tête à bout portant de Lucho qui a inexplicablement manqué le cadre (76e)
ou la chance, comme sur l'ultime tentative de Gignac renvoyée par le poteau
(90e+2). A
Dikan a aussi fait ce qu'il fallait pour écoeurer les Olympiens dans le
but du Spartak.
Il ne manquait plus que le coup de grâce. Sur un contre mené à toute vitesse,
le centre de Kombarov, dévié par Azpilicueta, trompait Mandanda et plongeait
le Vélodrome dans le désarroi (0-1, 82e).
La saison s'annonce difficile. |
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