OM Olympique de Marseille

Nantes - OM 1 - 1
Nantes - OM 1 - 1 ( 1-1)

Stade de la Beaujoire 34600 Spectateurs
Arbitre : Ruddy Buquet, France
Buts : I. Sarr (4e), Mostafa Mohamed (39e

NANTES : R. Descamps - J. Castelletto, E. Cömert, B. Meupiyou - Chirivella (S. Moutoussamy, 88e), Douglas - R. Pierre-Gabriel (M. Coco, 74e), Q. Merlin - Adson (K. Bamba, 46e), M. Simon (Marquinhos, 90+1e) - Mostafa Mohamed (I. Ganago, 73e)

OM : P. López - S. Gigot, C. Mbemba - J. Clauss, Renan Lodi - I. Sarr, V. Rongier, J. Veretout, J. Correa (I. Ndiaye, 64e) - Vitinha, P. Aubameyang -
Dès les premières secondes, l’OM a fait vivre un enfer aux Nantais, pourtant portés par la tribune Loire finalement garnie par sa Brigade. À la 3e minute, Ismaïla Sarr est à la réception d’un ballon dans la surface et le catapulte dans le but nantais. Après cette ouverture du score, le jeune Bastien Meupiyou (17 ans), aligné pour la première fois en Ligue 1, est expulsé pour avoir accroché Vitinha en étant le dernier défenseur. Le match est lancé seulement depuis dix minutes et Nantes doit remonter un but et compenser la perte de Meupiyou.

Mais avec la complicité des Marseillais, léthargique après leur but, le FC Nantes revient dans le match. Leur temps fort est récompensé puisque, via une superbe reprise en pivot de Mostafa Mohamed, les Canaris recollent au score.

Malgré un réveil tardif des Marseillais en fin de rencontre, le FC Nantes valide ce point, obtenu aux forceps. Côté Marseillais, à l’image d’un Marcelino fou de rage derrière la ligne de touche, on pourra se mordre les doigts d’avoir levé le pied après l’ouverture du score précoce.
Marcelino :

"C'est vrai qu'on s'est arrêté de jouer (après l'expulsion de Meupiyou).
Si je ne gagne pas, je suis en colère.
Contre moi-même, contre le jeu.
De la 14e à la 45e minute on doit faire beaucoup mieux.
Un match dure 90 minutes, et il faut toujours donner son maximum pendant 90 minutes.
On a cru que le match était terminé.
On doit se convaincre qu'un match dure 90 minutes, et que peu importe le résultat qu'on a, on doit vouloir plus.".