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Première Division 19eme, 24 points
45 Buts Pour 78 Buts Contre
Président :Messieurs Gallian et d'Agostino puis (décembre 1979) Monsieur Carlini
Entraîneur : Jules Zvunka puis (février 1980) Jean Robin
Equipe-type Migeon, Zambelli, V Zwunka, Trésor, Bacconier, Linderoth, Buigues, N'Gom,
Berdoll, Piette, Six
Remplaçants: Charrier, Fernandez, R.Gransart, Anigo, Caminiti, Castellani, Flores,
Temime, Pascal, De Falco
Buteurs : N'Gom (11), Berdoll (8), Six (7), Piette (4), Buigues, Témime et
Zambelli (3), Florès (2), Bacconnier, Linderoth et Pascal (1) et
un but csc du Niçois Barraja. |
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Trésor, Zwunka, Zambelli, Bacconier, Migeon, Buigues, Flores, Temime, Berdoll,
Linderoth, Six |
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Résumé de la Saison |
Toutes les rencontres de l'OM saison 1979/1980 en détail |
Pour l'OM, c'est la bérézina, avec pourtant une équipe qui devrait tenir
la route et jouer le titre avec Six, Trésor, Victor Zvunka, Bracci, Linderoth.,
Berdoll, et le recrutement de Zambelli, Temime, Piette...
Après une convaincant victoire sur le promu Brest 3 à 0 avec un très bon
Temime, tout se joue au Parc contre le PSG lors de la 2e journée.
L'OM mène 1 à 0 après une très bonne première mi-temps, mais Abel, qui
sera entraîneur de l'OM 20 ans plus tard égalise avant que Bathenay ne
donne la victoire au PSG. |
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Et la semaine suivante, à la suite d'un bon match, c'est une nouvelle défaite
au Vélodrome contre Saint-Étienne 5 à 3.
L'équipe programmée pour le titre ne l'est pas pour le maintien.
Elle va couler petit à petit, encaissant même un 6 à 3 au Vélodrome contre
Valenciennes.
Jean Robin joue les pompiers de service à la place de Jules Zvunka mais
c'est de pire en pire |
L'équipe, sans ressort, descend en Deuxième Division, on sait maintenant
que cela faillit lui être définitivement fatal.
Heureusement les Minots... qui vont d'ailleurs jouer dans cette saison
difficile (Anigo , Caminiti, Pascal, De Falco) relèveront la tête plus
tard..
Le jeune N'Gom se révèle le meilleur buteur de la saison avec 11 buts,
mais cela sera insuffisant.
L'apothéose" se termine par la défaite contre le vingtième Brest par
7 buts à 2 |
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Ce championnat 1979-1980 démarre en fanfare avec le transfert à sensation
de Michel Platini à Saint-Étienne, qui accueille également le Néerlandais
Johnny Rep, de l'Ajax.
La bataille va être féroce entre ces Verts requinqués, Monaco, où Gérard
Banide a pris les rênes de l'équipe, et le Nantes de Jean Vincent, qui
a enrôlé deux nouveaux joueurs argentins, Enzo et Victor Trossero.
Strasbourg a engagé Carlos Bianchi, mais l'arrivée du buteur roi va provoquer
de fortes vagues qui feront boire la tasse au champion. |
La lutte entre Saint-Étienne et Monaco domine la première partie du championnat.
En décembre 1979, Monaco est leader avec trois points d'avance sur Saint-Étienne
et quatre sur Nantes. Mais les Verts faiblissent, bien que brillants en
Coupe de l'UEFA, où ils battent le PSV Einndhoven avant d'être balayés
par Mönchengladbach. |
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Et puis, en mars, on voit Sochaux sortir de l'ombre et se mêler à la course
au titre en compagnie des trois grands.
Nantes (qui est tombé avec les honneurs en Coupe des Coupes devant les
Espagnols de Valence), Sochaux, Saint-Etienne sont tour à tour leaders.
Mais, à quatre journées de la fin, les Stéphanois subissent une surprenante
défaite au stade Geoffroy-Guichard devant le modeste Valenciennes. |
Et le 26 avril, Nantes bat Lyon et s'installe de nouveau en tête, aux côtés
de Sochaux l'inattendu.
Deux semaines plus tard (trente-sixième journée, le 6 mai) les Canaris
battent Sochaux 3-2 et prennent une option sur le titre.
En gagnant à Marseille le 17 mai (1-0, but d'Amisse), ils distancent Sochaux
et Saint-Étienne de trois points. Ils ne peuvent plus être rejoints. Ils
fêtent leur triomphe le dernier jour en battant Laval 4-1. C'est le cinquième
titre du FC Nantes, le deuxième de Jean Vincent et le troisième d'Henri
Michel. Une récompense aussi pour les Bertrand-Demanes, Bossis, Rio, Tusseau,
Oscar Muller, Baronchelli, Pécout, Amisse, tous sortis de l'école nantaise.
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Mais voici qu'arrive enfin l'AJ Auxerre de Guy Roux, au terme d'une ascension
lente mais régulière et, ici comme à Nantes, d'un superbe et énorme travail
de formation.
Quant au Monaco de Gérard Banide (encore un club formateur modèle), il
s'est consolé de son échec en championnat en gagnant la finale de la Coupe
(3-1) aux dépens des petits poucets d'Orléans, et en offrant le trophée
au bon prince qui gouverne le Rocher.
L'OM s'est fait piteusement éliminer par Cannes en 32e de finale aux tirs
au but. |
Coupe de France
32ème de finale : AS Cannes-OM 1-1 (4 t.a.b. à 2)
Buteur : Berdoll (1) |
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EQUIPE TYPE
1979/80
4 3 3 |
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Remplaçants |
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