22ème journée
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Stade VELODROME
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17 décembre 1986
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2-0 (1-0)
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MARSEILLE
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R.C. PARIS
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BONNEVAY (29'), PAPIN (77')
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LAUREY (59'), GALTIER (81')
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LE MAGUERESSE (11'), FRANCESCOLI (37')
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Mr BOUILLET
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25 593
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MARSEILLE
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BANIDE
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BELL, GALTIER, BONNEVAY, DOMERGUE, BADE, PASSI (BRISSON 75'), LAUREY, ZANON,
SLISKOVIC, PAPIN, CUBAYNES (DIALLO 72')
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R.C. PARIS
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ZVUNKA
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OLMETA, LE MAGUERESSE, BOSSIS, PERARD, GERMAIN, LITTBARSKI, UMPIERREZ,
FERNANDEZ (BEN MABROUK 36'), FRANCESCOLI, BRIDIER (OUDJANI 46'), THYS
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La "papinade" ? Un terme que j'ai eu le bonheur d'inventer et qui connut sa petite heure de gloire avant de tomber dans l'oubli, comme bien des néologismes.
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En match officiel, le premier "prototype" fut réalisé juste avant Noël en 1986 face au Racing de Paris (2-0), sous l'oeil de Franz Beckenbauer, sélectionneur allemand venu juger de l'état de forme de Karl-Heinz Förster.
Une longue transversale distillée depus la gauche par Jean-Louis Zanon,
une reprise foudroyante en pleine lucarne de "JPP" excentré sur
la droite et hors de la surface de réparation.
Le gardien parisien, Pascal Olmeta, médusé, n'eut plus qu'à applaudir dans
ses gants ce geste inouï, invraisemblable, qui, en bonne logique, n'aurait
pas dû être tenté.
C'est la définition que, personnellement, je donne de la "papinade"
: une reprise de volée spectaculaire, parfaite, mais déclenchée hors de
toute raison.
Alain Pécheral |
Le début des Papinades |
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